Mission de la Fondation Butters

 

La Fondation Butters a été fondée en 1976 pour rendre hommage à la vie et à l’héritage de Mme Lily Butters pour son travail précurseur en matière d’accueil dans sa maison de ferme et de soins pour les bébés avec une déficience intellectuelle. Ainsi, la mission de la Fondation consiste à poursuivre le travail de Mme Butters, soit d’aider les parents dans le besoin. À l’époque, Mme Butters accueillait dans sa demeure les enfants déficients des parents qui n’avaient nulle part où aller. Aujourd’hui, nous aidons les parents à élever leur enfant déficient en mettant sur pied de nouvelles meilleures pratiques dans le réseau public de la réadaptation, et en supportant financièrement des activités pour les parents, et les frères et soeurs, qui ne relèvent pas du mandat du réseau public.

Mme Butters avec une amie

Mme Butters avec une amie

Au cours des premières années de la Fondation, nous avons affecté nos ressources principalement à l’achat, la rénovation et la construction de résidences dans la communauté pour les personnes avec une déficience intellectuelle qui étaient prêtes à quitter l’institution de Mme Butters située dans le village d’Austin. Suite à la fermeture de « l’hôpital »  en 1991, les besoins en hébergement ont diminué. Parallèlement, le réseau public encourageait les familles à garder leur enfant déficient à la maison et demandait aux gens d’accueillir des personnes déficientes dans leur foyer de façon permanente lorsque les familles naturelles ne pouvaient pas s’en occuper. Ainsi, le mandat de la Fondation est passé de l’hébergement à l’aide aux parents afin qu’ils puissent relever le défi d’élever un enfant déficient dans le monde actuel.  

 Alors, nous apportons une aide financière aux projets et aux activités qui aident les familles à poursuivre leur lourde tâche. À cet égard, le répit est une priorité absolue de la Fondation.

 À notre avis, il est plus sain pour les personnes déficientes, et beaucoup mieux pour le gouvernement, de demeurer dans son milieu de vie naturel. La vie à la maison est grandement supérieure au déracinement et à la vie en ressource intermédiaire, peu importe la bienveillance du geste.